😍 Calculatrice scientifique en ligne

Aujourd'hui, une calculatrice est l'un des appareils électroniques les plus courants qui vous permet d'effectuer tous les calculs mathématiques de base : addition et soustraction, multiplication et division, calcul de pourcentages, élévation à une puissance, extraction d'une racine, etc.

Plus complexes, les modèles d'ingénierie peuvent également calculer des logarithmes et des différentiels, des exposants et des fonctions trigonométriques (sin, cos, tg, ctg).

Historique de la calculatrice

Le mot "calculatrice" vient du latin calculo, qui se traduit par "je compte" ou "je compte". Il est à noter que calculo, à son tour, vient du mot calculus - "caillou", qui confirme indirectement la version selon laquelle, dans l'Antiquité, de petites pierres étaient utilisées pour les calculs. Quant au premier boulier, l'ancêtre de la calculatrice moderne, il a été inventé il y a plus de 3 000 ans. Les échantillons qui ont survécu à ce jour ont été trouvés sur le territoire de la Mongolie moderne.

Un dispositif informatique plus complexe, le mécanisme d'Anticythère, a été inventé au IIIe-IIe siècle av. Il a permis de calculer le mouvement des corps célestes, ainsi que d'effectuer les opérations mathématiques les plus simples : addition, soustraction et division. L'un de ces mécanismes a été trouvé près de l'île d'Anticythère - sur un navire italien coulé.

Un autre appareil informatique ancien - l'abaque - remonte au 6ème siècle après JC, et est une petite planche avec des rainures dans lesquelles des cailloux ou des jetons avec des nombres tirés ont été placés en ligne. De tels dispositifs étaient largement utilisés dans le commerce entre les pays européens et asiatiques au Moyen Âge.

Ordinateurs non électroniques

Le mécanisme d'Anticythère, l'abaque et l'abaque sont des appareils assez primitifs utilisés pour des calculs simples à l'aube de la civilisation. Soit dit en passant, ces derniers (comptes) n'ont été largement utilisés qu'à la fin du XXe siècle - lorsque les calculatrices électroniques sont devenues abordables pour la majorité des acheteurs. Dans tous les cas, les inventions des siècles suivants, du XVIIe au XXe siècle, sont devenues les véritables conditions préalables à la création d'un ordinateur électronique.

Ainsi, en 1643, Blaise Pascal créa une machine à additionner, et en 1673 Gottfried Wilhelm von Leibniz présenta sa première machine à additionner au grand public. En 1876, Pafnuty Lvovich Chebyshev a conçu un appareil de sommation à transmission continue des dizaines, et en 1881 cette invention a été finalisée et a également permis d'effectuer des opérations de multiplication et de division de nombres. C'est là que s'arrête l'histoire des ordinateurs non électroniques et cède la place aux appareils technologiques qui fonctionnent à l'électricité.

Calculatrices électroniques

La première calculatrice électronique avec relais et pièces semi-conductrices a été créée en 1957 par la société japonaise Casio, avait les dimensions d'une armoire et pesait plus de 100 kilogrammes. En 1961, le Royaume-Uni a développé un appareil ANITA Mark VIII plus compact utilisant des lampes à décharge, et en 1964, les États-Unis et l'URSS ont présenté leurs développements, les modèles Friden EC-130 et Vega, respectivement.

La première calculatrice d'ingénierie au monde en 1965 était l'appareil Wang LOCI-2 de la société américaine Wang Laboratories. En plus des opérations arithmétiques, il pouvait calculer des logarithmes. La même année, la société japonaise Casio a présenté le premier modèle d'ordinateur à mémoire électronique, capable de mémoriser et de répéter les opérations terminées. Et en 1969, Hewlett-Packard a présenté une calculatrice programmable pour les calculs scientifiques et techniques HP 9100A avec 16 registres de mémoire. Il était déjà assez compact, ne pesant que 16 kilogrammes et pouvait être posé sur la table.

Au cours des années 1980, les calculatrices sont devenues plus petites, moins chères et sont devenues disponibles non seulement pour les grandes organisations, mais aussi pour les acheteurs individuels. Des modèles que nous connaissions avec des batteries solaires et des écrans à cristaux liquides sont apparus en vente, qui sont toujours en cours de production, malgré le fait qu'aujourd'hui, il existe une calculatrice dans n'importe quel smartphone.

Faits intéressants

Les valeurs numériques sur les calculatrices à bouton-poussoir augmentent de bas en haut, et non de haut en bas (comme sur les téléphones portables et les appareils tactiles).
Les nombres à l'envers sur le tableau de la calculatrice peuvent être utilisés pour former différents mots : google (376006), boogie (316008) ou hell (7734).
Les calculatrices électroniques LCD modernes peuvent exécuter des applications informatiques complexes. Par exemple, le jeu de tir légendaire des années 90 Doom a pu fonctionner sur le modèle HP Prime G2.

En résumé, on peut dire que les calculatrices à bouton-poussoir, en particulier les calculatrices d'ingénierie, n'ont pas cessé d'être pertinentes et sont largement demandées par les spécialistes. Et sur les équipements informatiques avec accès à Internet, les calculatrices en ligne sont les plus courantes, vous permettant d'effectuer n'importe quel calcul mathématique.

Comment utiliser une calculatrice scientifique

Même un appareil apparemment aussi simple qu'une calculatrice peut causer des difficultés aux utilisateurs qui ne sont pas familiarisés avec ses fonctionnalités à 100 %. Nous parlons d'une calculatrice d'ingénierie avec un ensemble étendu d'opérations, auxquelles, en plus de calculs mathématiques simples, des fonctions trigonométriques, des logarithmes naturels et décimaux ont été ajoutés. Comment utiliser un tel appareil et quelles options y sont fournies ?

Boutons standard et supplémentaires

Qu'il s'agisse d'une calculatrice à bouton-poussoir ou d'une calculatrice d'ingénierie numérique/logicielle, son panneau central contient des boutons standard et supplémentaires. Les premiers comportent des nombres : de 0 à 9, l'addition et la soustraction ("+" et "−"), la multiplication et la division ("×" et "÷") et le signe égal "=". Dans la liste des boutons standard que l'on trouve aujourd'hui même sur les calculatrices ordinaires (non techniques), nous incluons également la racine carrée "√", l'exponentiation "x2" ou "xy", une partie de l'ensemble "1 / x", le pourcentage du nombre "%" , séparateur décimal "." et parenthèses "(", ")".

Ces touches suffisent pour la plupart des calculs, mais pour les calculs plus complexes, des boutons supplémentaires sont utilisés :

"ex" - exposant.
"sin" et "sin −1" sont sinus et arcsinus.
"cos" et "cos −1" sont cosinus et arccosinus.
"tan" et "tan −1" sont des tangentes et des arctangentes.
"ln" et "log" sont des logarithmes naturels et décimaux.
"neg" - signe moins (pour entrer des nombres négatifs).
"π" est une constante égale au rapport de la circonférence d'un cercle à son diamètre.
"e" est le nombre d'Euler (e), ou le coefficient sans dimension pour les équations de Navier-Stokes.
"φ" est la fonction arithmétique multiplicative d'Euler.
"inv" est une fonction inverse, par exemple - "inv Sin" = "arcSin".
"+/−" est un bouton qui change la valeur d'un nombre de plus à moins et vice versa.
"rnd" - arrondir le nombre.
"Mode" est un bouton qui change les degrés en radians et vice versa.

Le panneau supérieur de la calculatrice technique (sous l'affichage numérique) contient également des boutons permettant de travailler avec la mémoire de l'appareil :

"→" - supprime le dernier chiffre composé (bouton similaire à "Retour arrière" sur le clavier).
"M+" - stocke un nombre en mémoire avec un signe "+".
"M−" - stocke le nombre en mémoire avec le signe "−".
"MR" - affiche le numéro enregistré à l'écran.
"MC" - supprime le numéro stocké de la mémoire.
"AC" - réinitialise la calculatrice à "0" (y compris l'effacement de la mémoire).
"C" - réinitialise la calculatrice à "0" sans effacer la mémoire.

Dans certains modèles de calculatrices, les boutons "M+" et "M−" sont combinés en "MS" (sauvegarde de la mémoire), et en plus d'un simple zéro, un double "00" est également utilisé. La racine carrée peut être affichée sur la clé sous la forme d'une icône standard "√" ou de la désignation de lettre "Sqrt", et l'exponentiation - sous la forme "^" ou "xy" (élevant "x" à la puissance "y"). Le clavier peut également avoir des touches "x2" et "x3" séparées pour la mise au carré et le cube, respectivement.

Et bien sûr, si nous parlons d'un appareil à bouton-poussoir, il doit avoir une touche "Marche/Arrêt" qui allume et éteint la calculatrice.

Comment utiliser correctement une calculatrice d'ingénierie

Les calculatrices d'ingénierie sont des appareils complexes et multifonctionnels qui peuvent varier considérablement d'un modèle à l'autre. Les différences peuvent résider dans l'absence de certains boutons et dans leurs différentes désignations. Par exemple, l'arc tangente dans un modèle peut être notée "tan −1", et dans un autre comme "atg", et au lieu du signe moins, la notation "neg" est utilisée.

Afin de connaître exactement le but de toutes les touches, vous devez idéalement lire les instructions fournies avec l'appareil. Dans le cas des calculatrices d'ingénierie, il peut comprendre des dizaines de pages et non seulement lister l'ensemble des fonctions disponibles, mais aussi expliquer comment les utiliser correctement. Lors de la manipulation d'une calculatrice d'ingénierie, il est également important :

Utilisez suffisamment de crochets "(" et ")" pour indiquer la priorité des opérations mathématiques. Sans eux, les formules mathématiques complexes seront mal calculées, car "a × (b - c)" n'est pas du tout la même chose que "a × b - c".
Écrivez les résultats des calculs intermédiaires dans la mémoire de l'appareil à l'aide des touches "M+" et "M−" (ou "MS"). Au bon moment, la valeur précédemment obtenue peut être affichée à l'écran avec le bouton "MR".
N'oubliez pas de réinitialiser l'appareil à chaque fois que vous lancez un nouveau calcul. Pour ce faire, il y a les boutons "AC" et "C". Le premier réinitialise la mémoire et efface l'écran, tandis que le second n'efface que l'écran.

En résumé, nous pouvons dire que les calculatrices d'ingénierie modernes ont déjà été perfectionnées et n'ont pas besoin d'être améliorées. Ils sont capables d'effectuer des calculs complexes en une fraction de seconde et disposent d'un large éventail de fonctions. La puissance de traitement de l'appareil peut même être suffisante pour exécuter une application 3D complexe.